Dédié à la mémoire de Lucy une amie
Que j’aurai aimé connaître en personne.
Les rêves de jeunesse se transforment
En cocons de vers à soie
patiemment tissés au fil des ans.
patiemment tissés au fil des ans.
Les ailes de papillons alourdies
Par les larmes de nuages
Reposent parmi les fleurs
Ramassées au passage
Les souvenirs collectionnés
Dans nos boites à musique
Perdent leur charme magique
De pouvoir encore éveiller
Les chères voix du passé
Mais les pas de la danse
Ralentissent et s’estompent
Discrètement derrière le rideau
Quand la boite se referme
Et les notes s’égrènent à nouveau
Sur l’étagère de nos pensées.
Ralentissent et s’estompent
Discrètement derrière le rideau
Quand la boite se referme
Et les notes s’égrènent à nouveau
Sur l’étagère de nos pensées.
Jean-Louis
Tão lindo... tão doce...
ReplyDeleteMeu coração está meio amortecido com duas mortes tão proximas. E dessa vez não encotrei poesia em lugar nenhum de mim. Apenas torpor.
Voce entrentanto encontrou palavras mais belas que eu jamais encontraria nesse momento. Foi voce quem chorou as lágrimas que ficaram paradas em alguma lugar do meu coraçao.
merci mon amour
Mon amour, c'est normal. Tu te rappelles du symbolisme de nos alliances...j'espere que toujours l'un de nous sera fort pour pouvoir encourager l'autre. comme un de mes poemes le dit: Dans tes reves tu ressens, dans les miens je t'entends... et j'epere aussi avoir cette intimite ou l'un peut sentir la joie ou la tristesse de l'autre... Merci de ta visite... une grosse bise.
ReplyDeleteCaro Jean-Louis
ReplyDeleteHá uma beleza na tristeza que só os poetas de alma elevada conseguem ver...
Seu poema é uma canção maravilhosa que me faz suspirar de emoção,
não sabia da morte da Lucy,
eu tive o privilégio de conhecê-la e usufruir um pouco de uma companhia extremamente agradável, ela soube ser luz e cumpriu sua missão aqui na terra.
Obrigada por nos presentear com este poema-pérola que se ajusta perfeitamente nesse vazio que ficou sem essa amiga...
Abraços.