Dédié à la mémoire du grand maître Tom Jobim.
Inspiré par la grande amitié que me porte Raquel, ma muse.
Je suis sûr que vous reconnaîtrez la mélodie.
Des mots durs, des mots doux
Des mots purs, des mots fous
C’est savoir s’émouvoir
Dans l’espoir de se revoir.
Comme une voile qui s’étiole
Dans l’aurore de son sort.
Comme un train dans une gare,
Comme un train en retard,
Comme un train qui s’éloigne
La chaleur de nos pleurs
Dans la nuit en témoigne
Le battement de ton coeur
Métronome juste à l’heure
Dans tes rêves tu ressens
Dans les miens je t’entends.
Le silence de ton âme
Réanime la flamme
Et révèle en douceur
La grâce du Seigneur.
Le désert en couleurs
Fait naître cette fleur
Dans mon coeur ébloui
A l’aube de ma nuit,
La lumière qui éclaire
Les fenêtres de ton être.
Le passé qui préface
Les blessures, les désastres
Le présent entrelace
Entre toi, entre moi
Un fossé est comblé.
Et un pont, une échelle
Face à l’adversité,
Nous apprend à marcher
Tous deux du bon côté.
Et voilà le mystère
Révèlé, embrassé
Comme tu vois cette fois
Entre toi, entre moi
C’est la fin de l’émoi
La distance entre nous
Elle n’existe pas.
Car l'amour est la plus courte distance
entre deux regards complices
qui se dévoilent en silence
et se couvrent de soupirs inexprimables
dans l'attente du retour....
Car l'amour est la plus courte distance
entre deux regards complices
qui se dévoilent en silence
et se couvrent de soupirs inexprimables
dans l'attente du retour....
Jean-Louis
Bravo, Jean-Louis! Tua musa inspiradora é merecedora destas tuas lindas palavras,
ReplyDeleteParabéns por esse lindo poema!
Ester.~
Merci Ester! Il me tarde de finir cette traduction pour pouvoir continuer a ecrire. ! Vivement la retraite, eh, eh, eh! Jean-Louis.
ReplyDeleteAmoooooooooo!!!!
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