(Suite) Pour ouvrir les chapitres suivants ou les précédents, cliquer sur le numéro de l´épisode situé dans la barre latérale à droite sous la catégorie : L´arbre de Josué - histoire originale publiée par ce blogger.
Prologue
Un jour un voyageur d'un pays antique
Me dit : « Deux énormes jambes en pierre, sans le tronc,
Se dressent dans le désert... Auprès d'elles, dans le sable,
À moitié enterré gît un visage fracassé, dont le front renfrogné
La lèvre retroussée, le sourire d'une froide autorité,
Proclament que le sculpteur savait lire les passions
Qui, imprimées sur ses choses sans vie, survivent encore
À la main qui les imita comme au cœur qui les nourrit;
Sur le socle sont gravés ces mots :
Mon nom est Ozymandias, Roi des Rois,
Voyez mes Œuvres, Puissants, et désespérez !
Rien à part cela ne reste. Autour des décombres
De ce colossal Naufrage, s'étendent dans le lointain
Les sables solitaires et étalés, nus et illimités. » Percy Bysshe Shelley. 1792-1822
~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~
Accompagne-moi si tu le désires, si aujourd’hui tu as perdu l’espoir de trouver la clé de la porte de sortie qui mène à la vie. Jésus a dit : «Demandez et l’on vous donnera, cherchez et vous trouverez, frappez et l’on vous ouvrira. Car quiconque demande, reçoit, celui qui cherche trouve, et l’on ouvrira à celui qui frappe.» Matthieu 7:8.
Introduction
Alors ce soir, n'oublie pas de soupirer, c'est aussi naturel que de rire ou de pleurer. Ce sont les autres qui n’aiment pas entendre les plaintes de notre âme, il faut les comprendre. Ils ne savent comment les prendre. Un soupir aussitôt lâché s’envole vers la nuée. Mais quelqu’un t’écoute et t’entend, crois-moi. Et si tu persistes, il te répondra. Et puis, tu sais, les plantes, elles n’attendent que ça, elles se nourrissent de soupirs, en fait, elles extraient les soupirs, même les demi-soupirs de la musique que Dieu ou l'homme ont créée.
A bientôt. Je te rencontrerai à la porte du désert.
A suivre….
Ozymandias
Un jour un voyageur d'un pays antique
Me dit : « Deux énormes jambes en pierre, sans le tronc,
Se dressent dans le désert... Auprès d'elles, dans le sable,
À moitié enterré gît un visage fracassé, dont le front renfrogné
La lèvre retroussée, le sourire d'une froide autorité,
Proclament que le sculpteur savait lire les passions
Qui, imprimées sur ses choses sans vie, survivent encore
À la main qui les imita comme au cœur qui les nourrit;
Sur le socle sont gravés ces mots :
Mon nom est Ozymandias, Roi des Rois,
Voyez mes Œuvres, Puissants, et désespérez !
Rien à part cela ne reste. Autour des décombres
De ce colossal Naufrage, s'étendent dans le lointain
Les sables solitaires et étalés, nus et illimités. » Percy Bysshe Shelley. 1792-1822
~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~~
Alors, mon ami/e, as-tu soupiré
la nuit dernière sur ton oreiller ?
Te sens-tu un peu comme ce Roi
Maitre de son domaine
Suivant sa propre loi.
Qui te pousse et t’entraine ?
Ton château de cartes
Si patiemment construit
Peut en une seule nuit
Devenir une ruine délaissée,
Un terrain vague où les enfants
Rient et jouent sans peu se soucier
Du pourquoi et comment
Une si grande entreprise
Un si beau bâtiment
Au bel et fier escalier
Gît dans l’oubli, enfoui
Dans le grand sablier,
Corridor des souvenirs
Corridor des souvenirs
Perdus à tout jamais
Dans le dédale du passé.
Introduction
Un jour, aveuglé par l’ignorance
Un homme trébuche sur une pierre
La première marche d’un escalier
Menant jusqu’au lieu du Très-Haut.
Dans sa hâte, sans pauser
Au croisement de la destinée
L’orgueil l´entraîne à ouvrir sa bouche
Il injurie la pierre de touche
La traitant de pierre d’achoppement
Puis trompé par son manque d’entendement
Il vire-volte, et d’un pas révolté s’éloigne
de l’amour que le Rocher bienveillant
pour l’aider dans son voyage lui témoigne.
Alors ce soir, n'oublie pas de soupirer, c'est aussi naturel que de rire ou de pleurer. Ce sont les autres qui n’aiment pas entendre les plaintes de notre âme, il faut les comprendre. Ils ne savent comment les prendre. Un soupir aussitôt lâché s’envole vers la nuée. Mais quelqu’un t’écoute et t’entend, crois-moi. Et si tu persistes, il te répondra. Et puis, tu sais, les plantes, elles n’attendent que ça, elles se nourrissent de soupirs, en fait, elles extraient les soupirs, même les demi-soupirs de la musique que Dieu ou l'homme ont créée.
A bientôt. Je te rencontrerai à la porte du désert.
A suivre….
Jean-Louis !
ReplyDeleteC'est drôle j'ai l'impression de comprendre l'anglais dans ce post :)
Belle invitation Jean-Louis !
"La terre n'était que chaos et vide. Il y avait des ténèbres à la surface de l'abîme".
Sur ces informités, instabilités, chaos chaotiques, Dieu a crée !
D. est un Créateur des choses ordonnées, abondantes, ...
Mais avant toute chose, D. est un D. créateur à partir du chaotique !
C'est un Spécialiste.
Praise the Lord ( on dit ? )
Comme j'avais dit, je commence tout juste à découvrir que tu as un blog chrétien. Great (on dit ?)
Bonne journée brésilienne !
ShalalaAir
Salut Tran!
ReplyDeleteJe croyais que tu etais troglodyte comme nous! Sous la pression de requetes de mes fans francais, j'ai decide de dedier quelques posts a mes amis francophones et francophiles et meme les francophobes pour etre inclusifs et politiquement corrects.
Comme tu as pu le remarquer, il y avait deja pas mal de posts en francais. J'ai beaucoup aime le dernire sur ton voyage en Tunisie. Malheureusement, j'ai perdu mon commentaire au moment de l'envoyer. Desormais, je le copierai a partir de "Word".
Alors bienvenue au pays des mirages et des viperes des sables.
J' espere que tu glaneras une bonne petite recolte, ne te genes pas, tout est gratuit ici. Le prix de l'entree a deja ete paye par quelqu'un d'autre. Comme tu dis: Praise the Lord!
Tchau, my friend.Jean-Louis