Le Printemps Éternel du Cœur de Dieu.

Alors que le monde chrétien se prépare à célébrer avec tous les symboles, quelques soient l’année ou la saison choisie pour la condescendance divine envers nous, voici ce que cette célébration signifie pour moi en tant que réalité vivante.
Dans ma réflexion sur l’incarnation de notre Sauveur Jésus-Christ en tant que geste de grâce et d'amour suprêmes de notre Père céleste à l’humanité entière, je ne peux m’empêcher de penser à la perspective limitée que nous avons de la mesure infinie de tous les attributs de Dieu et de ces œuvres dans l’immensité de l’univers qu’il a créé mais aussi dans chacune de nos vies.

D’abord, la chose étonnante quand je médite sur le miracle de la naissance surnaturelle de Jésus, c’est que Dieu le Père choisit de manifester sa présence sur terre par une semence du Saint-Esprit dans le ventre de Marie choisie au préalable avant la création du monde.

Imaginez un peu ! Le créateur, celui qui maintient l’harmonie et l’équilibre de l’univers par ses lois de la nature devenant un être humain fragile et se soumettant lui-même à la loi naturelle de la naissance humaine.

Ce que je trouve incroyable, c’est qu’en suivant le cours de sa naissance, de sa vie, de sa mort, de sa résurrection et de son ascension, les mêmes étapes caractéristiques peuvent être appliquées à ceux d’entre nous qui ont fait l’expérience de la nouvelle naissance spirituelle et qui sont passés de la mort à la vie, du royaume des ténèbres à celui de sa lumière merveilleuse. Tout comme un grand arbre est essentiellement contenu dans une graine qui attend de se développer dans les cycles de croissances, le même processus s’applique à la vie du Seigneur Jésus et aussi à chacune de nos vies.

Une illustration de l'échange de cadeaux de Noël me vient à l’esprit. Imaginons un cadeau dans une grande boite avec un nom. La personne qui reçoit le cadeau déchire le papier espérant découvrir un grand cadeau qui lui donnera un niveau de satisfaction à la mesure de sa grande taille. Mais quand la boite ouverte révèle une autre boite de moindre dimension cachée sous le papier d’emballage, elle se rend compte que quelqu’un est en train de lui jouer un tour simplement en soupesant la boite qui est très légère. Il ouvre une autre boite contenue dans la deuxième et encore une autre moins grande et ainsi de suite jusqu’au moment où finalement il ouvre une très petite boite. Quelque soit la valeur affective de ce cadeau, cela lui laisse un sentiment d’insatisfaction. Voilà en bref, comment l’acquisition et le plaisir que procurent les choses matérielles qui sont supposées combler nos vies du berceau à la tombe arrivent à être une grande déception et un miroir aux alouettes en fin de compte.

Il n’en est pas de même avec le cadeau de notre Dieu, le don gratuit du salut offert à quiconque qui soit disposé à l’accepter humblement. Il nous offre un cadeau dans une très petite boite, mais qui grandit au fur et à mesure qu’on découvre toutes ses possibilités surnaturelles. Quelle chose étonnante!

Maintenant, imaginez recevoir le don de Dieu, une semence spirituelle minuscule dans une petite boite. Après l’avoir reçue, une fois que votre vie est changée, vous vous rendez compte qu’en grandissant, le cadeau continue à croître au fur et à mesure de votre maturité jusqu’à la prochaine de vie éternelle, autrement dit, la boite de notre vie devient de plus en plus grande à l’inverse de la grande boite de l’illustration du cadeau humain échangé pendant les fêtes sous l’arbre de Noël.
Une autre façon de considérer donner et recevoir. Jésus dit que « même dans l’abondance la vie ne dépend pas de ce que quelqu’un possède ». Luc 12 :15.

Il enseignait aussi à « ne pas amasser des trésors sur la terre, où les vers et la rouille détruisent…mais amassez-vous des trésors dans le ciel, où no les vers ni la rouille ne détruisent pas ». Matthieu 6 :19-21.
Jésus ne parle pas seulement de trésors, mais de trésors incorruptibles. De quoi parle-t-il ?

Il veut dire des trésors comme les vertus chrétiennes, la générosité, la grandeur d’âme, la bonté, la miséricorde, l’humilité, la foi, la sagesse, la connaissance spirituelle, l’amour, la patience, les fruits de l’esprit se traduisant par les bonnes œuvres, notre service au prochain Tout ce qui deviendra les pierres de construction de la fondation de notre sphère d’influence dans le royaume à venir.

Regardons I Timothée 6 :18 (traduit de la New International Version) « Recommande à ceux qui sont riches dans ce monde présent …de mettre leur espérance en Dieu qui nous donne tout en abondance pour que nous en jouissions. Qu’ils fassent le bien, qu’ils soient riches en bonnes œuvres, qu’ils aient de la libéralité, de la générosité et qu’ils s’amassent ainsi des trésors pour eux-mêmes, une fondation riche pour l’âge à venir, afin de saisir la vraie vie. » En effet, on ne peut pas construire un immeuble ou une maison plus grands que leur fondation ne le permet, sinon l’édifice s’écroule.
Jésus parle de trésors qui ont leur commencement comme une petite semence intangible prenant racine sur cette terre et continuant à se développer jusqu’au ciel et à participer pleinement à toutes les étapes de croissance de cette semence dans deux dimensions simultanément dans ce corps terrestre et au ciel dans le royaume invisible de l’esprit.

La Bible mentionne à plusieurs endroits cette manifestation de la vie par exemple, contenue dans le titre de Jésus comme l’Alpha, le premier, le commencement et Omega, le dernier, la fin dans Esaïe et Apocalypse.

Nous pouvons aussi trouver l’image de la semence dans I Pierre 1 :23 : « Vous qui avez été régénérés non par une semence corruptible mais par une semence incorruptible, par la parole vivante et permanente de Dieu ». Ësaïe 9:5,6 déclare : « car un enfant nous est né, un fils nous est donné, and la souveraineté reposera sur ses épaules…l’accroissement de son gouvernement et de la paix n’aura pas de fin ».
À nouveau, Ésaïe quand il parle du Seigneur Jésus, déclare dans le chapitre 33, verset 6: « Il sera une fondation sûre pour notre époque, un riche entrepôt riche de salut, sagesse et connaissance ; la crainte de l’Éternel est la clé de ce trésor. (Traduit de la New International Version).

Ce salut qui germe d’une semence spirituelle, la parole de l’évangile, plantée par le Saint-Esprit lui-même dans le cœur des hommes qui le reçoivent selon ses critères s’accroît sans cesse et révèle le cœur plein d’amour de notre Père Céleste à ce moment, mais aussi durant chaque jour de l’année.

Paul prie pour les Éphésiens : « A cause de cela, je fléchis les genoux devant le Père, duquel tire son nom toute famille dans les cieux et sur la terre, afin qu'il vous donne, selon la richesse de sa gloire, d'être puissamment fortifiés par son Esprit dans l'homme intérieur, en sorte que Christ habite dans vos cœurs par la foi; afin qu'étant enracinés et fondés dans l'amour, vous puissiez comprendre avec tous les saints quelle est la largeur, la longueur, la profondeur et la hauteur, et connaître l'amour de Christ, qui surpasse toute connaissance, en sorte que vous soyez remplis jusqu'à toute la plénitude de Dieu ». C’est aussi ma prière pour nous tous aujourd’hui et pour l’année prochaine.

Contrairement à la philosophie de ce monde en train de périr, le cadeau de la vie éternelle en Jésus-Christ commence par une semence minuscule qui contient tout ce qui est nécessaire pour réaliser le dessein pour lequel notre Père et Créateur nous a mis sur cette terre.

Je vous invite à vous rappeler avec un cœur reconnaissant et humble que la plus petite et plus humble manifestation de vie, une semence humaine, un petit bébé dans le ventre de sa mère est infiniment précieuse et digne de protection et de soins parce qu’il est créé à l’image de Dieu. Psaume 139.

Et puis, cette saison jusqu’au début de 2011 et au-delà, je vous invite aussi à méditer non seulement sur le bébé Jésus dans les bras de Marie, mais de permettre à votre cœur et votre esprit d’élargir votre horizon sur d’autres dimensions merveilleuses de la vie et de leur significations profondes. Considérez donc toutes les étapes de la vie du Sauveur dans sa naissance, son ministère, sa mort, sa résurrection et son retour au ciel d’où il reviendra pour nous vêtir d’un corps glorieux, car nous sommes déjà ressuscités si nous sommes nés de nouveau, commençant comme une semence spirituelle minuscule emballée dans ce petit paquet fragile que nous sommes tous en tant que pèlerins sur cette planète.

Jean-Louis.

Christmas meditation on the Eternal Spring of God's Heart

Christmas meditation on the Eternal Spring of God's Heart

Flowering almond tree

 http://www.elmundo.es/traductor/

As people celebrate Christmas with all the symbols regardless of the exact time and year of God's divine condescension among us, this is what this season represents to me as a reality.

As I was reflecting upon the incarnation of our Savior Christ Jesus as the supreme gift of our Heavenly Father to mankind, I could not help but thinking of the limited perspective that we sometimes have of the infinite measure of all of God’s attributes and works in the vast universe He created but also in each of our lives.

The first thing I consider when I ponder the miracle of the supernatural birth of Christ is that God chose to manifest His presence in the flesh as a seed of the Holy Spirit in the chosen womb of Mary. Imagine a little! The creator and sustainer of the endless universe becoming a frail human being Himself subject to the natural law of human birth.
What is amazing is that as we follow the course of His birth, life, death, resurrection, ascension and His coming back to take His own faithful ones to reign with Him, the same characteristic stages apply to us who have experienced the second spiritual birth and have passed from death to life, from the kingdom of darkness into His marvelous light. As the mature tree is essentially contained in the seed just waiting to develop through the different stages of growth, so was the life of the Lord Jesus and so is everyone of our lives.

An illustration from the sharing of presents on Christmas day came to mind. Imagine one of the present being a huge box with someone’s name on it. The person tears off the paper hoping to discover a big present that will provide a level of satisfaction commensurate to his perceived size. But as the box reveals another smaller box hidden under the packing peanuts, he suspects someone is playing a joke on him as he realizes from the sheer weight of the box. As he keeps on opening another box, then another one, he finally opens the last tiny box and no matter what the value of the present, it leaves him or her with a sense of unfulfilled expectation and diminished satisfaction. Here in brief is how the acquiring and enjoying of material things which are supposed to fulfill our lives from the cradle to the grave end up being a great disappointment and a snare in the end. Not so with the present from our God, the free gift of salvation available to any one willing to accept it.

Now, imagine that you received the gift of God in a small box. After receiving and opening the gift,once your life is changed by that spiritual tiny seed, you realize that as you grow, the gift keeps on growing as you learn and mature into eternal everlasting life, the box of our life, so to speak, getting bigger and bigger.
Now considering another angle to giving and sharing presents. Jesus talking about greed said that life doesn’t consist in the abundance of things. Luke 12:15.

And He told the people to not lay up for yourselves treasures upon earth where moth and rust destroy and where thieves break in and steal, but lay up for yourselves treasures in heaven…for where your treasure is, there your heart will be also. Matthew 6:19-21.Jesus is not only talking about treasures, but incorruptible treasures! What is He talking about?

He means treasures like the Christian virtues, generosity of spirit, goodness, mercy, humility, faith, wisdom, spiritual knowledge, love, patience, fruits of the Spirit, all intangible, but whose effects are felt when translated into good works and service to our brothers, sisters and fellow man. Everything that will become the stones building the foundation of our sphere of influence in the coming kingdom.

Let's look at I Timothy 6: 18 in which Paul tells Timothy to "Command those who are rich in this present world... to put their hope in God who richly provide us with everything for our enjoyment. Command them to do good, to be rich in good deeds, and to be generous and willing to share. In this way, they will lay up for themselves a firm foundation for the coming age so that they may take hold of the life that is truly life".  It is obvious that one can build a house or a building only as tall and as large as the dimensions of the foundation supporting it, otherwise the building collapses.  

Jesus is talking about treasures that have their beginning as an intangible seed beginning here on the earth and continuing in Heaven and/or enjoying all the stages of the growth of the seed in two dimensions simultaneously, in the physical body while at the same time in the invisible realm of the spirit.In the Bible we can find several mentions of this manifestation of life as encapsulated in the title of Our Lord who is the Alpha, the beginning, the first and Omega, the last, the end and of course everything in between.
We can find the image of the seed in I Peter 1:23. “For you have been born again not of seed which is perishable but imperishable, that is through the living and abiding word of God.”Isaiah 9:6-7 promise of the coming Messiah follows this development: "for a child will be born to us, a son will be given to us, and the government will rest upon His shoulders…there will be no end to the increase of His government or of peace."
Salvation, knowledge and wisdom are part of the incorruptible treasures that Christ talks about in Matthew.

Talking about Christ, Isaiah 33:6 declares: “He will be a sure foundation for our times, a rich store of salvation and wisdom and knowledge: The fear of the Lord is the key to this treasure.” This salvation which starts as a spiritual seed of the Word of God, the gospel of good news planted by the Holy Spirit Himself in the hearts of men who have received Him on His terms is ever expanding and revealing the loving heart of our Heavenly Father at this time of the year and all year long.

Paul prays for the Ephesians in Ephesians 3:14-17 that: "He would grant you according to the riches of His glory to be strengthened with power through His spirit in the inner man so that Christ may dwell in your hearts through faith and that you being rooted and grounded in love, may be able to comprehend with all the saints what is the breadth and length and height and depth, and to know the love of Christ which surpasses knowledge that you may be filled up to all the fullness of God." This is also my prayer for all of us today and for the coming year.

Contrary to the philosophy of this passing and dying world, the present of eternal life in Christ Jesus starts as a tiny seed that contains all that is necessary to fulfill the purpose for which our Father and Creator put us on this earth.
I invite you to remember with grateful and humble hearts, that the tiniest and most humble manifestation of life, a human seed, a tiny baby in his or her mother's womb is infinitely precious and worthy of protection and nurturing because it was made in God’s image. Psalm 139.]

Also this Christmas season until the beginning of 2011 and beyond, I invite you also to reflect not only on the baby Jesus in the arms of Mary, but to let our hearts and minds expand our panorama onto other amazing dimensions of life and their meaning and consider all the stages of the life of the Savior in His birth, His death, His resurrection, His going back into the glory of Heaven and His coming back to give us glorified bodies, for we have already been resurrected if we have been born again, starting as a tiny seed wrapped up in a small and fragile package that we all are, as pilgrims on this earth.

Jean-Louis

EL CORAZÓN DE NAVIDAD

Publicado por Jean-Louis Mondon en RED DE ESCRITORES DE COQUIMBO el diciembre 8, 2010 a las 3:00pm



Hay muchos años, estaba trabajando en un restaurante en la riviera francesa. Se aproximaban las fiestas del fin del año y con mucha anticipación, esperaba que me daría mi patrón el día libre por lo menos el de la Navidad y de su víspera.
 Unas semanas antes pedí el día para que lo celebraría con amigos que ya hizierón sus planes de fiestas de fin del año. Su respuesta fue un NO categórico.


Como mi Papá siempre me dijo que yo tenía el don de persuasión, insistí más de una vez con argumentos que creía ser incontrovertibles. Traté como último recurso atraer a su lado de comerciante, enfatizando que la proporción del costo al beneficio dictaba que no valía la pena abrir, añadiendo todos los gastos en comida, luz, empleados, leña para asar la carne; incluí todo, pero en vano. Pero, así es la vida y uno no puede gañar todas las batallas.


Para gardar las aparencias, hablé con un tono e aplomo como si fuese una promessa o una venganza: "Usted va a ver, nadie va a venir a comer en su restaurante"


Llegarón as vísperas de Navidad. A las dos de la tarde, llegué al trabajo, preparamos todo para los clientes, encendí el brasero para asar la carne, el fuego calentando un poco el ambiente f'río con sus llamas atrayentesen un baile de luz.


Mi patrón me miraba con una mirada atrevida y yo le devolvía una sonriza segura. Solamente faltaba una apuesta. El aún al estar tan seguro no lo haría por miedo de perder dinero, y yo, por mis convicciones.


Así pasamos unas horas, llego la noche y el baile de las llamas en el brasero reducidas a un pouco de brasa.
El me pidió colocar más leña para que se vean las caras sonrientes de los empleados aburridos. Pero nadie no nos devolvía sonrizas porque como le había dicho, ni una alma deambuló hacia esta cálida bienvenida de nuestro anfitrión que arriesgaba perder la dignidad que en verdad solo él se otorgaba a sí mismo.


Finalmente, después de tantas horas, una vieja dama solitaria se aproximó de la puerta y entró arrastrando sus pies. Finalmente, había llegado nuestro regalo de Navidad!
Los pensamientos de mi corazón se suavizarón al pensar que la dama podría ser mi abuelita o mi madre.
Generalmente, no permitía el patrón a los empleados sentarse con los clientes, pero con buena voluntad me permitió sentar con la unica cliente. Tivemos una conversación amicable y ella me contó un pouco de su vida.


La experiencia fue profunda y me enseño que no hay casualidad y que todo gesto de amor y de gentileza es necesario para hacer deste mundo un lugar mejor, sólo si tocamos el corazón de una persona a la vez.
¡Valiosa esta leccion de vida!


Además, mi patrón gaño un cliente, pero perdió dinero porque le hizo sentir muy culpable pedir que esta pobre dama pagase la cuenta. Ninguno de nosotros perdio la dignidad y unos meses luego, nos separamos a seguir nuestro camino.


¡Feliz Navidad!


Jean-Louis.

SOSIEGO

Episodios de vida con El Señor Cristo Jesus

Salmos 107:25-32 (RVC)

 Él habló, y se desató un viento tempestuoso,
y gigantescas olas se encresparon.  

Se levantaban hacia el cielo, o se hundían en el mar;
y ellos se desanimaban y temblaban de miedo.  

 Inseguros, daban traspiés, como ebrios;
¡de nada les servía toda su pericia! 

 Pero en su angustia clamaron al Señor,
Y él los libró de su aflicción: 

 convirtió la tempestad en bonanza,
y apaciguó las amenazantes olas.

  Ante esa calma, sonrieron felices
porque él los lleva a puerto seguro.

 ¡Alabemos la misericordia del Señor,
y sus grandes hechos en favor de los mortales! 

 ¡Que lo exalte el pueblo congregado!
¡Que lo alabe el consejo de ancianos!

“Tierra tierra”, anuncian las gaviotas,

Delfines danzan como crianzas

Al ritmo de las ondas caprichosas

Celebrando este día con los pasajeros.

De repente un vorágine amargo

Sopla de un odre eólico,

Lleno de fétidez, verde de envidia

Al encuentro alegre de la familia.

La pantalla de nubes se hace más espesa

Y con ella las paredes de agua.

¿Será que en un choque

Vamos experimentar el naufragio?

La tempestad cresciendo suspende

La armonía del abismo mediterráneo

Alimentando el temor humano

Al pensar que ya había llegado

La hora fatídica sin recurso.

El corazón en estos momentos

Recuerda en un reflejo

Que hay un Dios en los cielos

Y pidiendo perdón y misericordia

Humildemente se arrodilla.

No hay tiempo por las buenas obras

Ni contar en Padre Nuestro  o Ave Marias

El video fulminante se desplega
Desafiando la mente aterrada.

Aqui no sirve de nada la consciencia

Ni el socorro de buenos amigos

Ya está todo en la balanza

No más karma, ni mordida,

Ya se aproximan el ángel verdugo
Y sus fuegos infernales

O la vida eterna y sus galardones.

Mientras estuve contemplando mi suerte

Una voz suave superando los gritos del viento

Me preguntó lo siguiente:

¿"Eres tú el que calma las tempestades

Acaso seas tú el Capitán del barco

Puedes mirar a través de las nubes

Y decidir que será tu futuro”?

Reconociendo la voz y la presencia divina

Que tantas veces me salvó la vida

De la guerra, de la violencia,

De los elementos en furia,

Mi corazón aquietado entregué

Entre las manos del Salvador 
Que nos pide descansar 
Entre sus costas, muy cerca

Sobre su pecho de amor.

Al final, la tormenta 
 calmada por su palabra

Llegó el barco a su puerto

Donde desde el principio

Siguió el camino diseñado.

Jean-Louis.

DISTANCIA EN NEGRO Y BLANCO

Dedicado a la memoria del gran Maestro Tom Jobim

Pour lire l'original en français, cliquez ici:

http://thelightseed.blogspot.com/2010/06/distance.html

Palabras ásperas, palabras suaves

Palabras puras, palabras locas

Es saber emocionarse
 Esperando reencontrarse.

Como una vela alejandose

En la aurora de su viaje

Como un tren ausente

Un tren atrasado

Un tren parado

El calor del llanto

En la noche testificó.

El latido de tu corazón

Metrónomo preciso

En tu sueños, emoción

En los míos, te entiendo.

El silencio en tu pecho

Reanima la llama

Sútilmente convidando

La gracia del momento

Del desierto colorado

Una flor cresce

En mi ser deslumbrado,

Al alba de la noche

La luz illumina

Las ventanas de tu alma.

El pasado que prologa

Las heridas, los fracasos

El presente entrelaza

Entre realidad y anhelos

Una sanja está colmada.

Y un puente, una escalera

Frente a la adversidad

La luz nos enseña

A caminar del buen lado.

Ahí está el misterio

Revelado, abarcado

Como tu ves, esta vez

Entre tú, entre yo

Es el fin de la búsqueda

Entre nosotros la distancia

Nunca me convencerá.

Porque el amor es
la más corta distancia 
cuando dos miradas cómplices
 se visten de un suspiro
 esperando el retorno.

Jean-Louis

BARUCH HABA

Nearly 3 000 years ago, God established this mountain, chief among all the mountains of the world, there are some higher, some grander but none more loved because where the presence of the lord is, there is true beauty.
I believe that in the heart of God since he established this city, his desire is to have a people drawn out and called out which stream to the city to worship the true and living God. Yeshuah Messaiah said: “Jerusalem, Jerusalem, I longed to gather you as a hen gathers her chicks, but you were not willing, you will not see me again Jerusalem until you say to me: “Baru Haba Hashem Adonai’, and tonight we stand in the gap in this city proclaiming to him: “Blessed is he who comes in the name of the Lord.
I will rise, Oh Lord and come to your resting place and we will delight in your life, then we will rejoice as we glory in your righteousness and we celebrate our love.

Paul Wilbur. God's Minstrel.

BAILE EN LA ORILLA DEL MAR

Descargada de Photothing

Dedicado a Mírian, mi inspiración

No me dejas. Todavía no.

¿Debemos olvidar los dulces besos,

Abandono nacido de acaricias de sueños

En la magia del momento engañoso

De las risas y lágrimas

Ilusión caprichosa

Del espejo fiel reflejando tu alma

Sujeto al imán poderoso

De tu mirada aterciopelada.

Delicias de tu toque
Ondas de luz insondables

Recuerdos reencontrados

Ocultos bajo de la luna

En este cofre de arena

Hechizada con el trino de mi flauta.

Tu falda apenas levantada

Girando con unas notas de farándula

Marcando el ritmo con tus piés

Acariciados por la espuma

Que desvanece, amable

Para celebrar esta parábola,

Aquel momento sagrado precisamente
Punteado por el silencio prestado

Por el  último grano deslizandose en el corredor

Del reloj de arena de nuestro anhelo.

Despúes de un largo medio-suspiro

La fuga vuelve a tocar staccato

En un esfuerzo desesperado

Durante aquel contrapunto

Tocando en triplecorcheas

La partitura donde las redondas

Y las blancas abundan sin contratiempo.

Interrompidos solamente por el guiño azulado

De la Cruz del Sur, guía segura del viajero

Buscando un mensaje portador de buen presagio

En el vestíbulo del destino

En casa del departamento de los objetos perdidos,

Sus manos febriles se aprietan

Y reciben en el silencio de sus corazones quietos

La sabiduría tan codiciada.

“Mis hijos amados, su búsqueda acaba aquí.

Su pedida está concedida, siguen su camino.

¿De que sirven estos lazos fútiles,

Estos hilos, estas sombras engañosas,

Este territorio de claroscuro, indefinido

Sin sello real, huella cierta de cambio ilícito?

¿Por qué intentar recuperar en la claridad del presente

Todo que se perdió en las tinieblas del pasado?”

Con esta revelación, puente suspendido

Vínculo salvador entre dos acantilados

Pasarela estrecha de fe, apoyo de amor providencial

Atravesando este abismo entre tierra y cielo

Ellos se balancean sin tambalear

Funámbulos sin red con los ojos clavados

En la sencilla promesa de alcanzar la otra ribera

Remanso de paz y alegría.

El sueño veleidoso

Abre sus ojos deslumbrados.

Una melodía sublime nacida

De un gesto tierno de tu mano perfumada

Sobre mi frente morena

Me invade de embeleso,

Confundiendo mi pensamiento submergido

Por el flujo de harmonía celestial

Rozamiento magistral

En las cuerdas abandonadas al placer

De dejarte tocarme,

Yo, tu guitarra, entre tus brazos,

Apenas bastante apretada

Para volverme mi libertad de escojer

De quedarme contigo

Buceando en la emoción.

Por apenas un momento hundido

Reposo mis pensamientos

Sobre tu seno papachador

Muy cerca de tu corazón de oro

Sobre el cual sin esfuerzo

Este pequeño hombre se duerme

Arullado por el movimiento

De este encanto, maravilloso cúmplice
Colmo de felicidad apacible.

Jean-Louis

Las Noches de Vila Sônia

Amor querido, musa preciosa

Tu ternura afluye sobre mi alma

Y me guarda tranquilo

En tu dulce abrazo.

Mi ser envuelto

De tí, mi bata aterciopelada,

Seda nacarada

Jarrón consagrado

Compartido en silencio.

Cárcel cerrada sin llave

Bajo el encanto de una noche

Media nublada, media luna

Agujeando con sus cuernas
El velo diáfano.

Desafio al viento

Y la lluvia incessantes
En San Pablo, ciudad de ilusiones.

He aquí, Vila Sonia, barrio de sueños

Despertados por la nostalgia

De un lejano canto de inquietud

Arrullando mi lasitud

Con acordes meláncolicos

Suspendidos por sus ritmos

Embajadores de benevolencia.

Llega la mañana floreada

De gloria escarlata extendida

Sobre la paleta amarrilleada

Por el astro indeciso

Anfitrión de bienvenida

En tu universo desconocido

A este viajero agotado.

Con todos sus mejores esfuerzos

El rei del dia no podía

Eclipsar tu mirada acojedora

Y tu porte noble e ingenuo

Invitándome a compartir el desayuno.

Jean-Louis.

Réflection sur le pardon

Cette réflection suit la ligne de pensée d'un affichage précédent sur la réconciliation.
Le texte de base se trouve dans Esaíe 55: 8: " car mes pensées ne sont pas vos pensées et vos voies ne sont pas mes voies".

Comme explication à cette déclaration de Dieu par la bouche du prophète, j'ai toujours entendu dire que l'homme est tant inférieur à Dieu qu'il ne peut nullement se comparer à lui. Ceci étant vrai, je ne pense pas que ce soit le sens primaire de ce passage. Une analyse du contexte dans les versets et le chapitre précédents montrent en fait que Dieu enseigne dans les versets suivants par une analogie une leçon très importante sur le pardon et les effets résultants de la démonstration de sa compassion, sa miséricorde et sa grâce, attributs de sa nature.

Ce verset ne signifie pas que l'homme ne peut pas penser comme Dieu puisque l'homme créé de nouveau par l'opération du Saint-Esprit a l'esprit de Christ comme le dit Paul dans le premier épitre aux Corinthiens, versets 12 à 16: 

"Or nous, nous avons reçu, non l'esprit du monde, mais l'Esprit même qui vient de Dieu pour que nous comprenions tous les bienfaits que Dieu nous a accordés par grâce. Et nous en parlons, non avec les termes qu'enseigne la sagesse humaine, mais avec ceux qu'enseigne l'Esprit. Ainsi nous exposons les réalités spirituelles dans des termes inspirés par l'Esprit. Mais l'homme livré à lui-même ne reçoit pas ce qui vient de l'Esprit de Dieu; à ses yeux, c'est «pure folie» et il est incapable de le comprendre, car seul l'Esprit de Dieu permet d'en juger. Celui qui a cet Esprit peut, lui, juger de tout, sans que personne ne puisse le juger. Car il est écrit: Qui donc connaît la pensée du Seigneur et qui pourrait l'instruire? Mais nous, nous avons la pensée du Christ".

Le contraste présenté dans ces versets est évident et clair. D'autre part, la deuxième partie parlant des voies du Seigneur présente un ordre contraire des mots commençant par l'homme et ses voies. Le Psaume 103: 7 déclare qu': "il a fait connaître ses voies à Moise". Mais "il a fait connaître ses hauts faits aux fils d'Israel".

 "Les juifs demandent des miracles" dit Paul dans I Cor 1:22. 
 

Le verset d'Esaie 55 signifie que l'homme dans son état naturel de pécheur ne pardonnerait pas une offense contre lui. Il chercherait plutôt à se venger pour exprimer sa rancune, son amertume et sa colère. Ces intentions et attitude du coeur se rencontrent très tôt dans l'histoire de l'homme. 

Genèse 4:23 rapporte comment Lemek un descendant de Cain, connu pour sa jalousie, sa colère et le meurtre de son frère Abel, se vante de son intention de se venger d'une blessure par la mort de son adversaire et quíl serait prêt à se venger soixante-dix sept fois. 

Contrastez cette mauvaise intention avec le commandement du Seigneur Jésus quand Pierre lui demande combien de fois on doit pardonner notre frère qui nous a offensé. 

Jésus lui dit: "Je ne dis pas jusqu'à sept fois, mais jusqu'à soixante dix-fois sept fois". 
Alors que l'homme depuis l'aube des temps a cherché la vengeance, Dieu plein de compassion, de pardon nous a réconcilié avec lui-même par le sacrifice de son fils, le Seigneur Jésus et nous donne la force de chercher la réconciliation et de pardonner à ceux qui nous offensent. 

Le Seigneur ne nous demande pas de faire quoi que soit sans nous donner des instructions précises, des explications claires et la force pour accomplir sa volonté. 

"Que le Dieu de la patience et de la persévérance vous donne d'avoir une même pensée les uns à l'égard des autres selon le Christ-Jésus afin que, d'un commun accord, d'une seule voix, vous glorifiez le Dieu et Père de notre Seigneur Jésus-Christ". Romains 15:5. 


Jean-Louis.  

Spirit Song (with lyrics)

Mixtura Insólita

C

Por Jean-Louis

Una mixtura insólita de cielo azul de esperanza

Y de niebla gris de olvidadiza

Claridad opaca, eclipse de sombra de muaré

Se desliza en mi mente.

Una distancia cercana como un dulce reproche

Logra invadir mi existencia tranquila

Sensación de imperceptible bienestar

De pertenencia, casi de dependencia

Necesidad escojida que no atrevo confesar.

¿Cómo podría sin dañar el todo

Que nos une, harmonizar

El coro que late dentro

De nuestros pensamientos?

Notas ligeras escapan libremente

Sin preludio, ni preámbulo,

Introducidas en este vestíbulo

Corredor largo y lento del tiempo.

Cuenta atrás sin recurso,

Sino que una oración untada de promesa

Percepción de un paraiso estrellado

Por la trama de una mirada animada

Con la llama de un hogar deseado

Al alcance de sus sueños

Victorioso contra los engaños.

Este espejo embustero, cubierto de hollín

Máscara lamentable de retintín

Se desvanece bajo el disfrazo de la noche

Frente a la claridad incomparable

De nuestra realidad dulce y irrefutable.

A STRANGE MIXTURE

Written and published by Jean-Louis http://thelightseed.blogspot.com

A curious blend of a hope-blue sky

And an absence-gray fog,
Opaque light, shadowy moiré eclipse
Slowly creeps into my thoughts.

Such a close distance comes to trouble
My peaceful existence, as a sweet reproach,
Sensation of imperceptible well-being
Of a belonging mimicking a habit
Chosen need that transcends defining.

 How could I harmonize the chorus

Beating in the thoughts of our heart
Without damaging the whole
That makes and keeps us one?

 Notes in flight freely escape

Without prelude, nor preamble,
  Gliding in the vestibule
  And the long, slow corridor of time.

Countdown without recourse
Except a prayer coated with hope
Granting us the vision of a star-studded heaven
Through the weft of a longing driven
By the flame of a hearth long awaited
Within reach of our dream,
Bearer of triumphant sighs of relief.

 This deceitful mirror, soot covered

Mocking and miserable mask
Retreats under the cover of night
Faced with the incomparable light
Of an invincible and sweet reality.
 
Jean-Louis.